Assemblée générale du 8 février 2014
C’est à Château-Gontier, devant plus d’une soixantaine de personnes, que s’est tenue l’assemblée générale 2014 de l’association Abeilles mayennaises.
Patrice HoutinBruno Hérissé
Les communes de Château-Gontier et Azé étaient représentées, respectivement, par Bruno Hérissé, adjoint au maire de Château-Gontier, et Patrice Houtin, adjoint au maire Azé.
Ils ont pu, à cette occasion, faire part de leur intérêt pour l’abeille. Patrice Houtin a rappelé le projet initié par la ville d’Azé, en 2013, en installant un rucher dans un lotissement résidentiel à charge, pour ses habitants, d’en assurer la gestion.
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Rapport moral du président
Comme le veut la tradition, Jean-Marc Desnoë, président de l’association, a ensuite présenté le rapport moral, en l’articulant autour de plusieurs points:
– rappel des buts de l’association:
- la découverte;
- la promotion et la vulgarisation;
- le développement de l’apiculture familiale et de loisir;
- la création de ruchers écoles, la collecte d’essaims, la connaissance et l’enseignement de toutes les techniques qui ont trait à l’apiculture.
– l’importance du bénévolat dans le fonctionnement de l’association:
L’existence de l’association Abeilles mayennaises repose sur les bénévoles, qui y consacre un peu de leur temps libre, et différents partenaires qui apportent leur soutien, comme:
- les adhérents qui participent à diverses manifestations, font fonctionner le dépôt-vente, réalisent des travaux divers, etc…;
- les membres du conseil d’administration, au nombre de 18, pour leur investissement permanent;
- les membres des diverses commissions;
- les partenaires publics et privés, par la mise à disposition de biens et d’aides financières;
Cette année, l’association va mettre en place la valorisation du bénévolat et des diverses mise à disposition de biens…. Il s’agit de connaître ce que représente, dans la vie de l’association, l’importance du temps consacré bénévolement par l’ensemble des adhérents.
Ainsi, au terme de 5 années d’existence, l’association Abeilles mayennaises fédère près de 200 adhérents (191 en septembre 2013), répartis sur l’ensemble du territoire.
– le développement des ruchers écoles:
La création du rucher école de la Briquetterie, à la Baconnière, en 2013, est venue compléter les ruchers écoles de Laval et Mayenne.
En 2014, Evron sera le 4° rucher école de l’association et, en 2015, le 5° rucher école devrait se confirmer sur le sud Mayenne, autour de Azé/Château-Gontier, après l’expérience de 2013, à Azé.
Ainsi, dans un rayon de 20 km autour de son domicile, en Mayenne, il est possible de trouver un rucher école où sont transmis les avoirs utiles à la conduite d’un petit rucher.
– le site internet:
Après été avoir complètement repensé, au début de l’année 2013, dans le cadre d’une mise à niveau du système d’exploitation des serveurs (prestataire support), le site a fait peau neuve, avec une ergonomie améliorée. Cependant, il reste des points à améliorer. Une enquête de satisfaction sera lancée en cours d’année, auprès des adhérents, afin de mieux connaître, notamment, leurs besoins…
– la production de miel 2013:
La production moyenne annuelle s’élève à 13,29 kg (10,8 kg en 2012), malgré un printemps très froid avec un rendement moyen de l’ordre de 3 kg et une importante cristallisation dans les alvéoles, à peine construites…
Le taux de réponse à l’enquête a, par contre, été beaucoup plus faible qu’en 2012.
L’association a besoin de vos données pour se forger une opinion de la vie des ruchers mayennais (pour mémoire, les données sont anonymes, comme l’exploitation géographique).
– la déclaration annuelle des ruchers:
La déclaration annuelle des ruchers est obligatoire. Elle peut se faire via Teleruchers ou par déclaration auprès de la DDCSPP.
– la géolocalisation des ruchers
Les abeilles butinent dans un rayon moyen de 3 km.
Sur leur parcours, elles peuvent croiser des congénères, en provenance d’autres ruchers.
Certaines maladies, propres aux abeilles, sont contagieuses, comme la loque américaine. Ainsi, dans un rucher contaminé par la loque, les colonies s’affaiblissent et peuvent être pillées par des colonies saines situées à proximité… ou des colonies sauvages, même si elles sont de moins en moins nombreuses.
Ces pillardes peuvent concourent à la dissémination des spores contagieux.
Connaître l’emplacement précis de l’ensemble des ruchers correspond, sur le plan sanitaire, à une mesure de prophylaxie c’est à dire susceptible de prévenir l’apparition, la propagation ou l’aggravation d’une maladie.
L’association Abeilles mayennaises va donc proposer à ses adhérents de recenser, avec précision, l’emplacement de leur rucher pour, en cas de contamination connue d’un rucher par une maladie quelconque, être en capacité les informer rapidement des risques potentiels encourus.
– le frelon asiatique Vespa velutina nigrithorax:
Détecté en Mayenne en 2010, sur les communes de Arquenay et Mée, sa présence a été constatée en 2013 dans au moins 25 communes mayennaises, à raison de plusieurs nids dans certaines d’entre-elles.
Très vraisemblablement, cette liste des communes concernées par le frelon à pattes jaunes est incomplète…
Plusieurs ruchers ont été, dès le mois de juillet, attaqués par les frelons, notamment dans la région de Laval et, plus particulièrement, à St Berthevin.
Pour 2014, il faut s’attendre à une présence accrue de ce prédateur.
L’association proposera, dès le printemps, des mesures de piègeage, les pouvoirs publics ne semblant pas mesurer l’importance de l’enjeu, tant pour les abeilles que l’entomofaune, l’abeille représentant plus du tiers de son menu, plus particulièrement en ville…
– l’étiquetage du miel:
Selon la directive européenne de 2001, le miel est la substance sucrée naturelle produite par les abeilles de l’espèce Apis mellifera à partir du nectar de plantes ou des sécrétions provenant de parties vivantes des plantes ou des excrétions laissées sur celles-ci par des insectes suceurs, qu’elles butinent, transforment en les combinant avec des matières spécifiques propres, déposent, déshydratent, entreposent et laissent
mûrir dans les rayons de la ruche.
Depuis le 14 janvier 2014, il peut aussi contenir du pollen OGM, sans que la mention apparaisse sur l’étiquette…
– interdiction temporaire de 3 néonicotinoïdes:
La Commission européenne retire enfin 3 molécules reconnues dangereuses pour les abeilles. Depuis le 1° décembre 2013, l’utilisation des 3 molécules néonicotinoïdes : l’imidaclopride, la clothianidine et le thiaméthoxam (substances actives à la base des préparations : Gaucho, Cruiser, Poncho, Cheyenne, etc..), utilisées en enrobage de semences, en traitement de sol et en pulvérisation, est suspendue pendant une durée de 2 ans.
Cette mesure va dans la bonne direction mais sa durée est trop courte pour en apprécier justement l’intérêt, en raison de la durée de rémanence de ces produits dans le sol (jusqu’à 3 ou 4 ans, selon certains auteurs).
Ainsi, elle pourrait se retourner contre l’apiculture: « vous voyez, après 2 ans de suspension de l’utilisation de ces produits, les abeilles meurent toujours… »
– comité stratégique pour l’apiculture:
Le 17 décembre 2013, les représentants des apiculteurs quittent la table des négociations, le plan de développement durable visant à développer la filière apicole ne met pas fin à l’utilisation pesticides… et le compte-rendu de la réunion est publié sur Internet, avant le début de la réunion!
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Rapport d’activités
– dépôt vente:
Nathalie Pinot et Michèle Maruejols présentent l’activité du dépôt vente:
– matériel ruches (partenariat avec ESAT Robida);
– vente de sirop, candi et pots à miel;
– chiffre d’affaires de l’ordre de 10500 €/an;
– 11 bénévoles se relaient le samedi ,entre 13h00 et 16h00, du 15 mars à fin juin, puis en septembre et en fin d’année;
– constitue un lieu de rencontre très apprécié.
– formation:
Jean-Charles Herriau, en charge de la commission formation, dresse le bilan des formations 2013, avec l’ouverture du rucher école de la Briquetterie, à La Baconnière, et la création d’une session de formation à Azé.
Pour 2014, 4 niveaux de formation sont proposées (découverte, initiation, approfondissement et élevage de reines) dans les 4 ruchers écoles.
Parmi ces 4 ruchers, il y a lieu de citer la création d’un nouveau rucher école, par la commune d’Evron, la gestion étant confiée à l’association Abeilles mayennaises, et la mise en service du nouveau rucher école du Potier à Laval (ancien terrain de camping de St Pierre le Potier).
La formation relative à l’élevage de reines se déroule au Bourgneuf la Forêt, chez Claude Lefèvre.
– présence de l’association:
L’association Abeilles mayennaises est particulièrement présente sur diverses manifestations dans le département, tout au long de l’année:
– la foire au miel, à Laval (janvier et octobre);
– Balade au jardin, à Laval (mai);
– Planète en fête, à St Pierre des Nids (mai);
– Graine de nature, à Evron (juin);
– ApiDays, autoroute A81 à Vaiges (juin):
– inauguration du rucher de la Briquetterie, à La Baconnière (juin 2013);
– Etapes estivales, autoroute A81 à Vaiges (juillet et août);
– Fête de la terre, à Fontaine Daniel (août-septembre);
– La Bolée de Concise, à St Berthevin (octobre).
– rucher pédagogique du Potier
Par convention en date du 14 juin 2013, la ville de Laval met à disposition de l’association Abeilles mayennaises l’ancien terrain de camping de St Pierre Le Potier.
Outre la formation d’apiculteurs, le bâtiment d’accueil est susceptible de recevoir des expositions thématiques. De même, un coin bibliothèque et vidéothèque pourrait être mis à disposition du public. Les locaux sanitaires seront aménagés en miellerie, avec une partie atelier.
Une trentaine de colonies seront installées, à terme, sur le terrain (environ un ha) et un circuit pédagogique de visite permettra, à l’aide de fiches d’identification, de rapprocher flore locale et abeille.
De mars à juin 2014, les élèves d’une classe de seconde du lycée agricole de Laval mèneront une étude sur la réalité de la notion de développement durable, à partir des thèmes suivants:
– lien abeilles/agriculture (interactions positives ou négatives);
– l’insecte: place dans la classification, rôle pollinisateur, prédateurs et parasites;
– histoire de l’apiculture, géographie, miel et mondialisation;
– la filière apicole, les produits de la ruche, utilisation dans le
domaine de la santé;
– paroles d’apiculteurs: recueil de témoignages.
– les ruchers partagés:
Il existe 4 ruchers partagés dans le département, à Laval (42° RT), St Berthevin (Les Carrières bleues), La Baconnière (La Briquetterie) et Mayenne (La Visitation).
Le principe du rucher partagé est mettre à disposition des apiculteurs, qui ne disposent pas de terrain, un espace où ils peuvent poser une ou plusieurs ruches, à charge pour eux de l’entretenir et de respecter certaines pratiques sanitaires.
Cet espace fait l’objet d’une convention de mise à disposition entre son propriétaire et l’association Abeilles mayennaises.
S’agissant du 42° RT, sa pérennité n’est pas assurée car l’espace va faire l’objet d’aménagements importants, des fouilles archéologiques en cours ont nécessité le déplacement de certaines ruches en place, en tout début d’année.
– le rucher école de la Briquetterie à La Baconnière:
Le rucher école de la Briquetterie a été inauguré le 22 juin 2013, en présence de Mme Martine Duval, maire.
– les Quatre vents, rucher associatif de Château-Gontier:
Claude Helbert présente l’expérience originale menée par l’association des Quatre vents.
Ainsi, plusieurs apiculteurs se sont regroupés pour fonder, à Château-Gontier, un rucher associatif, chaque associé participant aux travaux collectifs, tant pour la préparation des ruches, le suivi des colonies et l’extraction du miel.
Ce type de fonctionnement permet à chacun de s’impliquer dans la vie du rucher tout au long de l’année et présente l’avantage de réduire certains investissements…
A la différence du rucher d’Azé où la commune a mis 3 ruches à disposition des habitants d’une zone résidentielle, l’association des Quatre vents est propriétaire de l’ensemble des équipements, ruches, colonies et matériels.
– activités en milieu scolaire :
L’association intervient, au travers de sa commission pédagogique, en milieu scolaire (collège et primaire) mais aussi en centre social (Meslay du Maine).
Pour ces interventions, les intervenants ont fabriqué:
– un diaporama interactif sur la vie des abeilles, de l’apiculture, de la pollinisation, des dangers pour l’abeille;
– avec Brigitte Béasse, créatrice de spectacle pour les enfants, Noyège Herriau a conçu un spectacles de marionnettes;
– un quizz, à partir d’un jeu d’affiches;
– des jeux de société (conception Annie De Sèze);
– des albums photos;
– du matériel d’apiculture.
Lors de chaque intervention, les enfants peuvent aussi déguster les divers produits de la ruche (miels, pollen, pain d’épices, …).
L’association a participé à 9 manifestations en 2012/2013 et, pour la période 2013/2014, 10 sont déjà programmées, dont une à la Rincerie (Ballots), 2 en collège, 2 en maternelle et 5 en primaire.
Devant le succès de ces activités, la commission invite les volontaires à la rejoindre.
– GDSA: groupement de défense sanitaire apicole :
Bruno Passard, membre du conseil d’administration du GDSA, a rappelé la nécessité, pour chaque apiculteur, d’adhérer au GDSA qui a comme objectif d’accompagner les apiculteurs dans le suivi de l’état sanitaire de leurs ruches.
De même, le GDSA mutualise l’achat de médicaments, pour ceux qui le souhaitent, et donne des conseils face à une intoxication des abeilles, son objectif principal étant l’assainissement des ruchers mayennais.
Le GDSA organise régulièrement diverses actions:
– sensibilisation sur la loque américaine et la varroase en 2013 (une demi-journée);
– création d’une caisse coup dur (pour la loque américaine) en 2013;
– intervention d’un représentant de la FNOSAD (Fédération Nationale des Organisations Sanitaires Apicoles Départementales) sur les risques sanitaires en 2014;
– ouverture de ruches avec un agent sanitaire en petit groupe, pour observer
l’état sanitaire et les attitudes à avoir au printemps 2014.
– projet «ruches en paille»:
Daniel Mareau a présenté le projet d’atelier de création de ruches en paille, afin de transmettre au plus grand nombre le savoir faire correspondant. En effet, jusqu’à un passé très récent, les abeilles vivaient dans des ruches en paille de seigle, notamment.
Cet atelier devait démarrer cet hiver mais, faute de local satisfaisant (absence de chauffage des bâtiments du Potier), cet atelier a été repoussé à la fin de l’année.
L’association Abeilles mayennaises recherche donc de la paille de seigle et, en conséquence, demande à ses adhérents de lui faire connaitre toute ressource disponible (récolte juin-juillet).
La paille de seigle, même si d’autres matériaux sont également utilisables, doit être récoltée sans être broyée… Ce matériau présente une résistance aux intempéries et offre beaucoup de confort pour les abeilles. Néanmoins, il présente aussi quelques inconvénients:
– difficulté à déplacer la ruche;
– production un peu plus faible qu’une ruche moderne.
– le frelon asiatique:
Depuis son apparition, en 2004, dans le département du Lot et Garonne, le frelon asiatique n’a cessé d’étendre son territoire, comme le montre la carte ci-dessous, établies à partir de données recueillies sur le site internet de l’INPN (Inventaire National du Patrimoine Naturel):
Selon une étude du MNHN (Museum National d’Histoire Naturelle) et de l’IRBI (Institut de Recherche sur la Biologie de l’Insecte) de 2011, en page 24, il est indiqué que le frelon se nourrit essentiellement de :
– abeilles domestiques : 37%;
– guêpes communes : 18%;
– diptères floricoles (syrphides) : 34%;
– nécrophages : 11%.
Le taux de consommation d’abeilles domestiques est, par ailleurs, plus élevé en ville, la diversité des proies étant moins riche.
Ainsi, le frelon ne s’intéresse pas uniquement à l’abeille domestique mais également aussi à de multiples autres insectes…
En Mayenne, il a été repéré sur 25 communes (voir carte ci-dessus). Les premiers nids ont été découvert à Laval, puis à St Berthevin.
Yves Chauvin a observé son comportement tout au long de l’été et s’est rendu compte qu’il disposait d’une très grande capacité d’adaptation. Ainsi, la gêne occasionnée par le filet l’a amené à revoir ses habitudes de vol. Les ruches étant posées sur des parpaings perpendiculaires à la face avant de la ruche, il s’est mis à voler en passant sous la ruche, de l’arrière vers l’avant, ne pouvant plus arriver par le haut.
Ses déplacements sont rapides, d’arrière en avant de la ruche , puis d’une ruche à l’autre, sans oublier de s’élancer à travers le filet pour essayer de capturer une abeille de retour à la ruche.
Pendant ce temps, les pouvoirs publics s’organisent à une vitesse inversement proportionnelle à celle de l’expansion géographique du frelon.
Si l’arrêté du 26 décembre 2012 (agriculture) classe le frelon comme danger sanitaire de 2° catégorie pour l’abeille domestique, ce classement ne permet pas la mise en œuvre de programmes de lutte obligatoire au niveau national ou départemental.
En conséquence, la destruction des nids reste volontaire et les frais correspondants sont supportés par celui qui en fait la demande (de 150 à 350 €, si nécessité d’une nacelle).
L’arrêté du 22 janvier 2013 (écologie) interdit l’introduction de frelon à pattes jaunes.
La note de service du 10 mai 2013 (agriculture) définit les mesures de surveillance, de
prévention et de luttes permettant de limiter l’impact du frelon asiatique Vespa velutina
nigrithorax sur les colonies d’abeilles domestiques sur le territoire national:
– mesures de surveillance nécessaires à la connaissance de la situation de chaque
département vis à vis de la colonisation par le frelon asiatique;
– mesures permettant de réduire la prédation par le frelon asiatique dans les ruchers;
– mesures permettant de réduire le nombre de nids de frelons asiatiques dans l’environnement des ruchers.
Pour mettre en place ces mesures, le préfet doit désigner l’OVS (organisme à vocation sanitaire) compétent. A priori, le GDS (groupement de défense sanitaire) pourrait remplir cette fonction. Cependant, en Mayenne, comme dans certains autres départements, ses interventions concernent uniquement l’élevage bovin, porcin, ovin et caprin.
Comme il ne peut y avoir 2 OVS par département, il est envisagé de constituer un OVS apicole, au niveau régional… Ce sont les dernières informations transmises par la DDCSPP, contactée sur ce sujet en fin d’année.
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Renouvellement du conseil d’administration
Le conseil d’administration comprend 18 membres, renouvelable par tiers annuellement.
Les 6 membres sortants, pour l’année 2014, étaient:
– Claude Helbert;
– Bruno Passard;
– Patrick Oger;
– Roger Braud;
– Daniel Bouttier;
– Valérie Chauve.
Valérie Chauve n’est pas candidate à un nouveau mandat, suite à un changement de résidence (a quitté la Mayenne).
Aucun adhérent n’ayant fait acte de candidature autre que les membres sortants, il a donc été procédé à l’élection de 6 membres.
Ont été élus pour 3 ans :
– Claude Helbert;
– Bruno Passard;
– Patrick Oger;
– Roger Braud;
– Daniel Bouttier;
– Marie-Agnès Le Bihan.
L’élection du bureau aura lieu le 13 février 2014.
Tirage de la tombola
L’assemblée générale s’est achevée avec le tirage de la tombola. Voici la liste des heureux gagnants:
– Marc Keriven: charme abeilles;
– Jean-Marc Desnoë: une brosse en crin;
– Chantal Coutard: un lève cadre américain;
– Noyève Herriau: un livre « Cours complet d’apiculture »;
– Nathalie Pinot: un livre « Melipona, l’abeille sacrée des Mayas »;
– Daniel Bouttier: une paire de gants latex;
– Daniel Marchand: un nourrisseur ruche 10 cadres (offert par ESAT Robida);
– Jean-Paul Helbert: un couteau à désoperculer;
– Henri Lesage: une hausse ruche 10 cadres (offerte par ESAT Robida);
– Theresia Anton: un abonnement à la revue « Abeilles et fleurs »;
– Mathieu Sablé: un enfumoir inox;
– Philippe Chesnais: une vareuse;
– Charles Dudognon: une ruche 10 cadres (offerte par ESAT Robida);
– Christelle Prod’homme: un essaim hiverné (offert par Joseph Houtin).